Une sérénité oubliéeUn sentiment enterréUn Eden estompéA l'horizon éthéréLes blessures étaient referméesMais les cicatrices profondément ancréesScellaient encore ce coeur abandonnéAucune douleur ne l'atteignaitMais en cet indestructible bouclierCe coeur se mouraitInexorablement entraînéAu loin les sentiments s'éteignaientMais qui saurait raviverCette flamme d'humanitéQui à la fois brûlait et soignaitCe coeur autrefois plein de vitalité?De désespoir il ne connaîtEt cette douce clartéPéniblement s'est infiltré...
... il l'a attrapée...
Kali, le 7 avril 2006.
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