Je n’entendais plus ni le ronflement sourd des climatisations, ni le bourdonnement continu des moteurs de voitures. Au départ, je décelais deux sons complémentaires. Un battement sourd et rythmé, parfois entrecoupé d’un bruit métallique, couvercle de casserole contre le carrelage. Puis, une vibration grave, corde pincée, sourd comme le bruit d’un moteur, mais tellement plus doux. Cette mélodie piquée semblait répondre aux battements, s’intercalait dans un rythme commun.
Vous souvenez-vous de ce concours de nouvelles autour du Jazz auquel j'avais décidé de participer? Et bien, je suis allée au bout du projet, j'ai envoyé la nouvelle, et, maintenant que la date d'annonce du gagnant est passée (et que ce n'est pas moi), je peux partager le texte.
Un peu long pour un post de blog, vous pouvez retrouver le Quartet des Rêveurs sur les Carnets de la Nife, ou bien en téléchargement via PDF ou ePub.
Bonne lecture, j'espère que cela vous plaira.
J'ai bien aimé ta nouvelle sur le quartet des rêveurs. Très imaginative et poétique à la fois.
RépondreSupprimerTu as vraiment des qualités d'écrivain et de poétesse que je t'encourage à déployer..
Gros bisous.
Maman
Merci maman ;) Je pense qu'il n'y a pas de secret: il faut que je consacre plus de temps à l'écriture pour m'améliorer... Surtout tant que je n'ai pas d'enfants et que j'ai ce temps.
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